dimanche 3 novembre 2013

L o n d o n .

Et voilà, déjà de retour, des souvenirs plein la tête. Je vais énoncer les grandes lignes de ce -court- séjour avec Charlotte, pour éviter de trop m'étaler comme j'en ai si souvent l'habitude. 

Après une première soirée du côté de Piccadilly's Circus, à errer d'une boîte à l'autre, on finit par aller à deux soirées différentes, au Rumba et au Rise, deux boîtes de nuit. Nuit d'Halloween oblige, on se fraye un chemin dans le métro, les rues et en boîte au milieu d'une horde de zombies, vampires et autres créatures mystérieuses (félins, Prince William, Pokémons, Minions et compagnie). L'ambiance est assez déjantée dès le début de soirée, les gens sont assez... ouverts, on va dire - en tout cas plus qu'en France.

On finit notre nuit aux alentours de quatre heures et demi, notre réveil sonne à six heures.. Ouch. Mais la motivation de notre journée visite/shopping prend le dessus et on se retrouve dans Primark à huit heures tapantes, pour deux heures d'essayage, d'hésitations, de coups de cœur et de dépenses effrénés. On va encore dans l'un ou l'autre magasins, je dois freiner mes ardeurs dépensières (pourquoiiiii? la vie est trop injuste), jusqu'au fameux Drop Dead Store dont je rêve depuis genre, euh... six ans, déjà. Je ressors de là avec seulement un bonnet, me promettant d'y revenir symboliquement à chaque fois que je retournerai à Londres. Parce que oui, j'y retournerai forcément.
Après un passage express pour déposer nos sachets shopping à la chambre, Charlotte et moi on repart direction Buckingham's Palace, puis King's Cross et LA VOIE 9 ¾. Première halte de notre pèlerinage de Potterheads
Ensuite on enchaîne Camden Town (tatouage, pas tatouage..? ;-), Big Ben, Westminster Abbey, London Bridge (sans vraiment le vouloir...) et Tower Bridge. On fait ça vite et bien, on termine même par un dîner dans un resto-pub typiquement anglais que Charlotte me fait découvrir (avec en prime, dégustation d'un cocktail-spécial-de-là-bas). 

Puis hier, samedi, c'était LE GRAND JOUR. Visite matinale des studios Warner "Harry Potter". Je suis incapable de décrire, de définir ça. C'était magique, même si le jeu de mots peut faire cliché certes, mais je ne vois rien d'autre. J'en ai pleuré, à plusieurs reprises au cours de la visite (oui, je suis une fille émotive, surtout quand il s'agit de LA saga littéraire qui a sans doute influencé toute ma vie, jusqu'à mes choix universitaires), j'aurais voulu tout prendre en photo, tout filmer, tout acheter, j'ai gravé chaque.instant.de.la.visite dans ma tête, chaque détail, chaque information que je parvenais à dénicher à droite à gauche. J'étais passionnée, fascinée, absorbée, transportée, bouleversée par tout ce que je pouvais voir, entendre et comprendre.
Alors OUI, ça vaut amplement le coup d'aller aux studios Harry Potter, pour tous les fans de la série, mais aussi pour tous les gens qui ont côtoyé des fans comme moi, s'interrogeant parfois sur la stabilité mentale du Potterhead en question. Cette visite ne prend que trois heures, mais elle peut véritablement bouleverser tout ce que vous vous étiez imaginé jusqu'à présent.

Je ne pourrai jamais expliquer à quel point j'admire J. K. Rowling pour l'univers qu'elle a su faire exister pour toute la communauté de fans, mais aussi de l'engouement qu'elle a suscité chez les adultes, et chez tous les professionnels qui ont mis cœurs et âmes à faire vivre la saga, jusqu'aux plus petits détails. 

          


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