mardi 25 mars 2014

cold night.


Don't you let me go this time. 
Don't you let me go this time. 
Don't go baby, it's time for us you know. 
Don't go honey, this way we'll never know. 
Don't go honey, this way we'll never know. 



It was a cold night, the talk of forever kept us warm. 
But even forever, doesn't last for long. 
I say, say you'll never, say you'll never change. 

Say you'll never, say you'll never change. 

Say you'll never, say you'll never change. 
Say you'll never, say you'll never change. 

I knew the moment I met you, 
I could never lose you. 


Et parfois j'me demande si y a pas un truc qui est en train de se passer. Un truc qui est en train de changer, moi qui suis en train d'ouvrir les yeux. Comme toujours, il y a ses papillons, ses étincelles, et tant pis si ça fait cliché, c'est le plus représentatif. Cette sensation, comme si j'étais légère comme une plume, comme si je pouvais m'envoler sous son regard. Avec le temps, j'ai appris à ne pas m'emballer, à ne pas attendre trop, à ne pas me faire d'illusions. Mais après tout, j'ai passé l'âge de perdre mon temps à me poser des questions. Alors merde, pourquoi on ne vivrait pas un peu plus ? Pourquoi on ne profiterait pas de chaque instant que la vie voudra bien nous offrir ? Comme ça au moins, si ça devait s'arrêter demain, on aurait pris tout ce qu'il y avait à prendre.  


"Carpe diem 'til the bitter end"



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