so don't think that i'm pushing you away when you're the one that i've kept closest.

Je suis fatiguée, éreintée, à bout, j'ai mal absolument partout (même derrière les oreilles), & j'en ai marre, vraiment marre de cette routine qui s'est trop vite réinstallée à mon goût. Réveil, préparation, voiture, train, tram, fac, cafét', cours, cafét', cours, tram, train, voiture, devoirs, dodo. Même plus le temps de manger correctement haha. & avec tout ça, mon Fils me manque, je le revois demaiiiiin ! Il aura droit à un gros câlin le gros loiulou (owi que je suis niaise, je sais). Sur ce, la flemme d'en dire d'avantage. A la revoyure mes gros !

dunno what's happening.

Outre la frustration immensément immense d'hier soir (sans commentaire, franchement), je suis aussi en perpétuel état de stress (& je sors les grands mots savants aujourd'hui, rien ne va plus). J'ai pas à me plaindre c'est sûr, mais j'ai vraiment à penser à énormément de choses ces derniers temps: présentations orales & dossiers à préparer pour les cours, stage à l'étranger à trouver pour cet été (+ formalités à régler), petit boulot à trouver en parallèle de la fac ASAP, dossiers & tout le reste à préparer pour les inscriptions aux concours de différentes écoles pour l'année prochaine, & en parallèle il me reste QUAND MÊME ENCORE un minimum de vie sociale à gérer. Ne vous étonnez pas si je suis pas très disponible dans les prochains temps, je ne vous évite pas & je ne fais pas exprès, mais cette nuit je suis restée bloquée sur mes recherches de stage jusqu'à minuit, & j'crois que toutes les soirées à venir risquent de se ressembler (parce qu'il faut pas oublier que les cours continuent, qu'on a trois tonnes de boulot & qu'il faut absolument que je valide ce semestre sans avoir besoin d'aller aux rattrapages). Maintenant que j'y pense, j'ai même pas encore les résultats du semestre 5, il paraît qu'on les aura "aux alentours du 15 février". Ce qui veut dire que ça peut-être le 15, le 16 ou le 17 février, mais ça peut aussi très bien être le 5 juin. Bref, on est pas prêts d'avoir nos résultats.

Puis la photo, c'est en souvenir de la chaleur du Vietnam.. en pensant que jeudi, ils nous ont prévu un p'tit -16°C, hahahahaha. 

wild ones.

Contrairement à ce qui était prévu à la base, je viens de passer une soirée.. tranquille, chez moi. Après un p'tit détour par le bar à pâtes, où j'ai opté pour la sélection du mois (c'est à dire sauce cherry tomatoes + mozzarella, miam miam), retour à la maison pour se poser sur le canapé, devant les NRJ Music Awards. Même si à la base j'en avais un peu rien à faire de l'émission, j'ai quand même pu un peu rigoler de certains artistes (ça fait du bien aussi parfois). J'me plonge dans la trilogie Millénium dès ce soir aussi -honte à moi de ne pas l'avoir fait avant, je sais. Puis il est à peine minuit & je suis déjà fatiguée, pour un samedi soir c'est plus qu'exceptionnel ça. J'me rattraperai la semaine prochaine, haha. 

my life is like a roller coaster.

J'arrive même pas à croire à tout ce qui se passe en ce moment, moi qui me plaignais d'avoir une vie à la con. Il s'est passé plus de trucs fou entre hier & aujourd'hui qu'il ne s'en passe habituellement pendant deux mois. Hier matin, je suis passée au secrétariat de la fameuse école que je vise pour l'année prochaine, j'ai cherché un dossier d'inscription au concours d'entrée, puis j'ai trouvé par hasard une autre école qui pourrait très bien faire l'affaire aussi, avec un concours un peu plus "soft" on va dire. L'après-midi, je compte rentrer chez moi (très) vite parce que j'ai une soirée méga-chargée qui m'attend. J'vais à la gare, je prends le train de 16:05 (qui est parti avec du retard, soit).. & ce train s'arrête en plein milieu de la voie même pas dix minutes après son départ. Le chauffeur sort de sa cabine, un peu gêné, nous dit qu'il y a un problème au niveau du moteur & qu'il va voir ce qu'il se passe. Ok, cool. Il sort, & y a des énormes nuages de fumée qui sortent de sous le train. Euh ? Bon. On attend encore, encore, encore, & pour finir le chauffeur & le contrôleur nous demandent de changer de wagon, de vider le premier histoire "de pouvoir évacuer plus facilement en cas d'incendie du moteur". Haha, pardooon ?! On bouge donc de wagon, & faut encore attendre un bon quart d'heure avant que le train ne daigne repartir, en mode trois-kilomètres-à-l'heure. On finit par arriver à destination avec plus d'une demi-heure du retard, je me fais chercher à la gare (après avoir croisé quinze mille personnes que je connaissais), & on passe vite fait à la maison le temps de fourrer mon jogging & mes baskets dans mon sac, de me préparer un yaourt nature avec flocons d'avoine, pruneaux & deux biscottes pour le dîner, de remplir ma bouteille d'eau, avant de repartir chercher mes lunettes (hahaaa, ça fait trop bizarre d'ailleurs). Les gens me regardent différemment, j'ai l'impression que ça les choque tous de me voir avec des lunettes, & ça nous plaît moyen à moi & mon éternelle psychose. Ensuite, direction le centre équestre. J'y étais pas depuis mon retour du Vietnam, & mon Dieuuu ce que ça m'avait manqué.. Après une demi-heure passée à errer dans les écuries, c'est déjà l'heure de repartir à 50 bornes d'ici pour aller à la danse. La première représentation a lieu dans à peine plus d'un mois & j'ai carrément pas l'impression d'être prête mais boooon, va falloir se bouger. & acheter les chaussures histoire de s'habituer un minimum à sautiller dans des talons gjrdfgvb ça va être tellement drôle. A la fin de la répét', c'est direction Haguenau, encore une fois vingt minutes de route, & retrouvailles des potos Prouf-Fred-Bichon-Davidou pour aller boire un verre à la Casa (où on croise encore des têtes connues & où on fait la connaissance d'un Bourguignon-Breton-mecduZap qui est venu s'exiler en Alsace). Je suis complétement lessivée, j'rentre pas trop tard histoire d'être au lit avant 2:00 (j'ai presque réussi). Puis ce matin c'était méga-p'tit-déj où j'ai fait le plein de fruits, après j'ai bossé, bossé, bossé.. & consulté mes mails. & là, c'est le drame. J'ai compris le trip au moment où j'ai vu l'objet du mail, & j'me suis mise à piailler comme une dinde: "Ohputaindemerdebordelc'estquoicetruc".. "RE: Concours T. Mills". Ok. J'ai gagné mes deux places, les billets qui me faisaient tellement rêver. On peut se dire "Ouaiiis, on est hyper contents pour toi Laurie", mais en fait pas du tout, c'est le bordel, le concert c'est DEMAIN & c'est à PARIS, & je n'ai NI tickets de train, NI endroit où dormir & puis.. merde quoi. Je suis partagée entre l'euphorie d'avoir gagné ce que je voulais tellement-tellement-tellement depuis des mois, & la rage de savoir au fond de moi que c'est mission impossible de planifier tout ça pour demain sans que ça foire quelque part. J'ai tellement horriblement les nerfs que je pourrais fondre en larmes. BREF, j'ai gagné mes places pour voir mon Travis & j'peux pas y aller, coolcoolcool. 

Je vais éviter de m'étendre là dessus parce que sinon j'vais finir par péter un câble, & sérieusement. DONC, après ces événements, on est allés faire les courses, chercher mon produit pour les yeux, mes lentilles, j'en ai profité pour essayer quelques fringues &, MIRACLE, j'ai trouvé mon bonheuuur (en revanche, pas dans les rayons soldés, évidemment). Ensuite, passage chez mon cousin pour son anniversaire, donc on s'attarde un peu, café-gâteaux oblige, & on finit par rentrer à la maison. & là je me prépare déjà à repartir avec ma soeur, histoire qu'on aille manger quelque part toutes les deux. Histoire d'oublier que demain j'aurais pu/du être à Paris. J'aurais vraiment du en fait ouais. & merde quoi. 

 Bonjour les têtes (& Bichon a l'air hyper sérieux haha)

Goûter de Noël !

CHEERS avec notre jus d'oranges chaud préparé avec amour par Solène ce matin, haha ! & nos p'tits bredeles qui restaient de Noël (+ les Oreo "blueberry ice cream" que j'ai ramenés du Vietnam). C'était bien sympathique avant nos trois petites heures de cours (on est en plein dans les relations internationales là d'ailleurs). 

Puis hier soir c'était Pataterie (c'est l'nom d'un restaurant pour les gros incultes) avec Marie & Tania. Après deux heures passées assises à notre table -alors qu'on avait fini de manger au bout d'une demi-heure haha-, on a enchaîné avec une longue discussion sur le parking, puis une balade en voiture, puis une pause sur le parking de l'école avec chamallows, Schtroumpfs & Milka snack-balls à la noisette. Le pire, c'est qu'on est même pas obèses (oui je sais ce que vous pensez: "presque", & je vous em___ profondément). 

J'me suis attelée sérieusement à la suite de mes études (non, je ne m'arrête pas encore haha). Je sais ce que je veux, mais je suis carrément pas sûre de pouvoir l'avoir, & ça m'fout la rage. J'ai cherché 978632 écoles (en vrai, cinq ou six) de substitution au cas où la Number One ne me prendrait pas, mais ça me fait un peu peur. Puis avant de penser à septembre & à la suite, faudrait déjà que je trouve un stage pour cet été, histoire de pouvoir boucler ma licence. Hush hush.

& my heart goes boom.

Aujourd'hui je suis allée choisir & commander mes lunettes.. haha, sept ans que c'était pas arrivé ! Pendant sept ans j'ai réussi à me contenter de mes lentilles mais là (vous avez pu comprendre si vous suivez un peu), rien ne va plus, j'ai l'impression d'être raide H24 tellement mes yeux brûlent, tellement je vois flou & tellement ils sont rouges. BON, ça va me faire bizarre (à moi & aux autres j'pense). Pendant quelques jours/semaines j'vais pas pouvoir mettre de lentilles du tout, même si c'est provisoire ça me perturbe déjà. J'ai envie de rire rien qu'en y pensant, rien qu'en repensant aux deux heures passées chez l'opticien à essayer huit fois chacune des paires de lunettes du magasin. J'vais avoir l'impression d'être handicapée haha. A part ça la fac c'est toujours la même galère, mille exposés à préparer, le premier passage à l'oral demain à midi, youpi. & ce week-end est déjà méga-blindé. Vendredi : passage à ma (croisonslesdoigts) peut-être future école pour chercher le dossier d'inscription + shopping + danse + Casa. Samedi : dépression + resto + boîte. Dimanche : déjeuner chez les grands-parents + jesaispasencorequoi + dépression Millsienne sans aucun doute. Faitchierfaitchierfaitchier.   

 

Puis sinon, faut que j'évacue un peu c'que j'ai sur le cœur là, ça commence à peser lourd. Parfois j'trouve quand même la vie injuste. C'est sûr que j'ai pas à me plaindre, j'ai tout ce qu'il me faut pour vivre (voire même plus que juste le nécessaire), mais y a certains trucs que je ne comprendrai sans doute jamais. Par exemple, pourquoi les gens qui se permettent de ne rien foutre à l'année réussissent leurs examens (même si c'est en grande partie grâce à leur iPhone). Pourquoi est-ce que tous les efforts que je fais sont toujours considérés comme quelque chose de "normal", mais que c'est exceptionnel pour quelqu'un d'autre. Pourquoi des tas de gens obtiennent absolument tout ce qu'ils veulent en claquant des doigts, alors que je dois me battre pour faire ce que j'ai envie de faire. Ou pourquoi est-ce que cette nana a le droit de passer ses journées & ses nuits avec lui, & pas moi. Pourquoi est-ce que c'est dans les moments où j'ai le plus besoin d'être entourée que tout le monde m'ignore. Pourquoi est-ce que les choix sont parfois si durs à faire. Pourquoi est-ce que tout tombe toujours au mauvais moment. Pourquoi est-ce qu'il est plus là. J'crois que je passe pour une geignarde, ou genre la nana de 21 ans qui est déjà blasée de la vie. Nan, c'est pas ça, du tout. C'est juste qu'à force d'accumuler ces petites injustices, aussi insignifiantes soient-elles, ça finit par faire mal. Maintenant bon, stop le pessimisme & la dépression pour ce soir. J'appréhende déjà mon week-end. Sur ce les gros.

rückblick.

Quelques petites photos que j'ai récupérées chez mon père ce soir.. (où pour une fois j'suis dessus, haha)

Ca fait bizarre de se dire qu'il y a encore 10 jours on était sous 33°C, en tee-shirt & short, alors que maintenant faut empiler les couches de vêtements pour pas mourir de froid (ok j'exagère un peu mais c'est presque ça).

 

J'me suis même fait des amis là-bas, mon pote.

& le must du must, les plus choubidous de tous les choubidous du MONDE.

. LES BÉBÉS CHIEEEENS!

 J'ai trop craqué sur le petit rouquin gnredfugndf *niaise*. La dame qui les avait ramenés sur le trottoir l'a direct remarqué, & elle m'aborde en répétant "One dollar, one dollar", en montrant le chien du doigt. Euh ? Non, ce n'était pas une blague. Le chien était bien à un dollar, & elle était en train d'les vendre sur le trottoir, sous plus de 30°C. Les pauvres p'tites bêtes. J'aurais dû les ramener à la maisoooon.

I've never been closer to the truth.

 P'tite photo prise à notre QG (càd la cafét' ouaisouais). On a réussi à se satisfaire de la seule & unique photo qu'on a prise cette après-midi, c'est une grande première dans l'histoire, on mérite le respect.

& ça, c'était mon repas de midi, avec ma boisson de la journée haha. Je sais qu'elle est trop cool ma life. C'qui était moins cool par contre, c'est le petit craquage de cette aprèm face à une barre Crunch.. j'étais trop en manque de chocolat. Ce soir, on va manger chez ma grand-mère avec presque toute la famille, j'vais commencer à serrer la ceinture je crois, sinon je vais finir par craquer encore une fois. C'est le mal. 

wild&free

 

Ma nouvelle chemise que ma Maman a achetée mercredi dernier, je l'aimmmme!

Big up à cette journée qui n'a servi à rien.

Réveil à 7h pour un rendez-vous à 10h, juste parce que j'avais pas d'autre choix que d'me faire emmener à la gare à 8h déjà. Du coup j'ai le temps de faire un peu de marche à pieds pour tuer le temps, au lieu de prendre le tram. Evidemment, l'ophtalmo qui avait pour habitude de demander à ses patients retardataires s'ils avaient déjà essayé de prendre un train cinq minutes après son départ, ben c'est elle qui avait du retard. Quinze minutes à poireauter dans la salle d'attente avant qu'elle n'arrive enfin. Bref, tout ça pour m'entendre dire qu'elle ne sait pas ce qu'il se passe, que je dois envoyer mes lentilles en expertise & qu'en attendant je vais devoir porter des lunettes que je n'ai pas encore, qu'il faut donc que je commande & que j'attende de recevoir avant de pouvoir donner mes lentilles (parce que vivre sans correction pour moi & mes yeux, c'est mission impossible, j'suis myope comme une taupe au point de ne pas reconnaître ma mère à deux mètres). BREF, çafaitchier. Après, direction la fac où je me pose à la cafét' avec Caro pour manger une p'tite salade, & bosser, bosser, bosser. Les exposés, les dossiers, les devoirs X ou Y, tout ça. J'ai seulement cours de 15h30 à 18h30, faut bien tuer le temps. Enfin, rectification: je CROYAIS avoir cours de 15h30 à 18h30, mais en fait Solène m'apprendra en arrivant (à 15h) que le prof de relations internationales a décidé d'être souffrant, & que donc on a cours de.. 17h à 18h30. Joke, c'est pas comme si je squattais la cafét' comme une ermite depuis quatre heures là. Dans le genre jemefousdelagueuledumonde, c'est le must. Encore une heure & demie de plus à passer posée sur la même chaise. Après, cours de français, genre "synthèse de documents", le truc mode lycée. & retour à la maison à 20h. Je déteste ça, avoir l'impression que ma journée n'a servi à rien. Ok, j'étais chez l'ophtalmo. Ok, j'ai avancé dans mes présentations & cie. Ok, j'ai même pu passer à ma mutuelle pour régler 2-3 trucs. Ok, j'avais un cours de français. Mais j'ai quand même passé les 3/4 de ma journée dans la cafétéria, je sais pas si vous vous rendez compte du drame. Demain ça va pas être mieux, avec ma méga journée : cours de 12h à 13h puis de 15h à 16h. Franchement, ils auraient au moins pu s'arranger pour nous rassembler les deux mini-journées du lundi & mardi, tant qu'à faire. M'enfin, j'vais pas m'énerver pour ça, c'est mauvais pour la santé. Ce soir, c'est cool-Raoul, posée sur le canapé avec la couverture, l'ordi, un bon bouquin & c'est tout. J'veux plus entendre parler de cours pour aujourd'hui, j'ai eu ma dose, puis faut que j'planifie ma journée de demain (la tenue est déjà prête par contre, haha). 

Ca c'est HS, mais c'est la salade au chèvre chaud de vendredi soir, mmmh!