Tonight's the night, here we go!

IL FAIT ENCORE MOCHE. 

Je suis encore malade,donc j'ai pas envie de prendre soin de moi ou de mes cheveux (ma nouvelle coupe est donc laissée à l'abandon, j'regarde comment elle se débrouille en freelance), donc je ne ressemble à RIEN en ce moment (& je préférerais franchement rester cloîtrée chez moi que de sortir le bout de mon nez sur un bout du trottoir, trop peur de croiser quelqu'un de connu).. Soit, on est pas là pour parler de ma fièvre et du nombre de mouchoirs que j'ai utilisés, ou bien ? NON. 

Alors juste, une p'tite-mini photo qui date de samedi soir (avant de sortir itouitou), histoire de vous montrer que mes cheveux ont QUAND MÊME pas mal éclairci, et qu'ils ont QUAND MÊME raccourci, aussi.. Puis au passage, mon p'tit coup de cœur du dernier album de Daft Punk ;-)

+ go regarder ma review complète de l'album Random Access Memories sur TheCafeBook !

Get lucky.

Rien à dire. Ok, c'est un peu triste mais c'est tellement plat ces derniers temps que c'en devient déprimant. Toujours en stage, le design a été mis en ligne et notre site est plutôt chouette (j'vous laisserai en juger par vous-mêmes dès qu'il y aura un peu plus de "matière" dessus), il fait toujours moche, j'ai réussi à chopper une crève parce que - oh malheur - je me suis permis de me balader en jupe + collant + boots + tee-shirt manches longues + veste après le 20 mai. Ouais, soit, mais par principe j'ai du mal à me promener en doudoune au mois de mai perso. Sinon j'me suis fait un p'tit plaisir perso en m'achetant un nouveau charm Thomas Sabo pour mon bracelet, un p'tit lapinou trop mignooon. AH ET OUI. J'ai failli oublier. Acte qui a marqué la semaine, le mois, voire l'année peut-être : je suis allée chez le coiffeur. Les dernières fois que j'y étais c'était pour des coiffures (de mariage & autres fêtes), sinon je n'avais plus rien coupé/coloré depuis.. 2010. Trois ans sans coiffeur. Et voilà que j'ai perdu la moitié de mes cheveux et qu'ils sont de retour en mode quasi-décolorés. Mais j'aime plutôt bien, même si j'imaginais ça moins clair.. Et hier soir, back on the dancefloor, j'ai revu des gens que j'aime, j'ai pu passer du temps avec les plus importants, et ça fait du bien. Même si j'avais en tête de me coucher vers trois heures, il était presque cinq heures et demi quand je suis allée au lit.. avec un réveil à neuf heures. Magnifique. En attendant je suis en mode zombie et j'ai cheval dans une heure, YOUPI !

"Demain j'arrête", lecture de la semaine.

"A bientôt" : quelle expression détestable. Pour moi qui panique à l'idée de perdre les gens, ces simples mots sont une horreur. Ils signifient que l'on ne sait pas quand on se reverra. On accepte que le hasard décide. C'est insupportable. Je veux être certaine de retrouver tous ceux auxquels je tiens tellement. C'est à ce prix que je peux espérer avoir une chance de dormir paisiblement. Je veux même savoir exactement quand. On ne devrait jamais dire "A bientôt", mais préciser "Rendez-vous dans la semaine" ou "On se retrouve dans deux dodos" ou encore mieux : "On se revoit dans 18 jours, 16 heures et 23 minutes". Une chose est certaine, en ce qui concerne Ric, je ne me vois pas attendre 18 jours. 

Demain j'arrête, Gilles Legardinier

Inutile de préciser qu'au moment d'écrire "Ric", mes doigts étaient déjà partis en free-lance sur les touches du clavier pour taper un tout autre nom.. Quoi que, peut-être pas "tout autre" après tout, y a une certaine consonance on peut dire.

Récap' des derniers jours

Fidèle à mon habitude, j'ai omis de vous raconter mes dernières péripéties - non pas qu'elles soient particulièrement palpitantes, mais ça vous permet d'imaginer (un peu) ce que je fais de ma vie en ce moment. Donc toute la semaine c'est stage, et franchement j'adore mon job, mes collègues sont cools, les bureaux sont trop bien situés, j'ai pas de quoi me plaindre. J'essaye de me remettre un peu plus sérieusement au sport : je sors faire un footing dès que le soleil sort de derrière un nuage (ok, c'est pas si souvent que ça que ça arrive), je refais mes petites séances d'exercice en plus de ma "soirée fitness" hebdomadaire du lundi.. Mais en parallèle, j'ai réduit le cheval. Pas parce que je ne prends plus plaisir à monter ou parce que je suis overbookée, mais Fils me manque. C'était assez dur ces derniers temps, les dernières fois, je finissais systématiquement par me tourner vers son box et laisser échapper mes larmes. Monter à cheval me manque, mais je n'aime pas l'état dans lequel je me retrouve une fois là-bas, dans les écuries, sur selle... Comme si quelqu'un prenait un malin plaisir à tout chambouler à l'intérieur de moi-même. Bref, on va refermer cette parenthèse ici. 

Après le boulot, j'essaye de sortir, de prendre l'air, de me changer les idées (pas du boulot en fait, mais de.. tellement d'autres choses). Alors ces derniers temps j'ai été au bowling, puis boire un verre, puis en boîte, et hier soir - alors que j'étais démaquillée et en pyjama sur le canapé à 22h45 - on m'a réquisitionnée en dernière minute pour sortir. Du coup, deux temps trois mouvements, un quart d'heure plus tard j'étais remaquillée, en tenue de soirée, prête à partir pour un marathon Aviats' - Café des Anges - Kiss Club. En résumé, on a : bu un verre - bu un verre - danséjusqu'auboutdelanuit. C'était top-fun. 

Cette après-midi, j'ai fait un tour au NL Contest avec ma soeur. Franchement, j'ai du mal à y retrouver l'ambiance "d'avant", celle dans laquelle je me sentais trop bien quand j'étais au lycée, avec toujours la même bande. Surtout que là, les gamin(e)s se mettent à se pavaner, et ça joue à "qui aura le plus de swag en buvant d'la bière et du Red Bull et en fumant un joint ou deux". Quand je les ai vus déjà titubant, empestant l'alcool et voulant jouer aux "grands" avec leurs roulées, ils m'ont vraiment fait de la peine. Et pitié. La jeunesse, c'est plus ce que c'était. 
Et ce soir, j'aurais voulu être à Kaiserslautern. Vraiment. Limite, j'aurais DU y être. Mais non, à la place je suis devant la télé à mater la finale de The Voice (Olympe-Olympe-Olympe siouplééé), pondre un article ici et m'occuper de mes ongles. Et faire du sport, encore. Histoire de me changer les idées, de penser à tout sauf à ce qui dérange. On en reparlera à l'occasion. Ou pas.  

Battle of the Year..

.. one of the MOVIES OF THE YEAR.

Can't wait to watch it.

Can you feel my heart?

On est en mai, il pleut encore. Franchement, cet article pourrait très bien s'arrêter là tellement je n'ai rien d'autre à dire. Tellement cette simple phrase résume état d'esprit / plans du week-end / tenue du jour. J'ai le dernier album de Snoop Dogg Lion, Reincarnated, bien au chaud prêt à être inséré dans mon lecteur CD, mais c'est un album à écouter sous le soleil. Euh, quel soleil ? Maintenant que j'ai acheté des nouvelles jupes, des tee-shirts, des blouses estivales ultra-colorées, ben je peux pas les sortir vu que je dois encore me trimballer mes pulls gris d'hiver - et ma veste à capuche, enfer & damnation. Du coup, pour passer ce qui reste de mes journées après le travail, je peux même pas faire trop de sport, j'en profite pour lire, rattraper mon retard dans les séries.. Mais il va falloir que ça bouge dans les prochains temps, alors SOLEIL REVIENS S'IL TE PLAÎT. Et priez pour moi, pour la météo, pour mes jupes et mon régime aussi. En attendant, "souviens toi de l'été dernier" en mode étés 2011-2012 : 

JE VEUX RETROUVER MES ROBES, MON BRONZAGE, MES REFLETS DORES DANS LES CHEVEUUUUX...

can't wait for summer to come.

Deuxième semaine de stage ; j'enchaîne les reviews, les écoutes, les visionnages, les lectures, je découvre des tas de films, d'auteurs, d'artistes, j'écris, je relis, j'écris encore, et franchement ? Ca me plaît. Genre, vraiment. Et comme j'aime bien faire découvrir des nouveautés aux gens, forcément j'en profite pour intercaler des reviews sur mes musiciens/auteurs/films préférés. En parallèle, j'ai des dossiers à boucler pour la fac, un mémoire sur lequel je dois plancher, mais je m'en sors pas trop mal pour le moment. Mode working-girl ON. 

Et ça fait presque une semaine que je n'arrive plus à dormir, que je suis sans cesse dans l'attente d'un message, e-mail ou n'importe quel signe de certaines personnes. Mais même si je tombe de fatigue, j'ai l'impression d'être heureuse. Comme dirait ma cousine, "c'était une soirée qui t'a trop swaggée". Pour la p'tite anecdote comme ça juste au passage, les membres de Killerpilze sont les derniers lecteurs assidus de mon blog au compteur (cf. article précédent). Oui oui, rien que ça hein. 

J'ai oublié le décompte des jours, mais dans un peu moins de trois mois je serai ENFIN de retour sur le sol américain, après de (trop) longues années d'abstinence. Et je réfléchis déjà à un moyen un peu plus interactif qu'un blog pour vous tenir informé de toutes mes péripéties là-bas, de la Grosse Pomme jusqu'à Miami Beach ;-).

EAST COAST BABY, stay tuned!

 

GrellTourFR

Wir hatten euch vermisst. Bitte-bitte-bitte, kommt bald zurück.. ♥

Je sais pas par où commencer en fait, y a tellement de trucs à dire et j'ai tellement pas le temps.. Bref, c'était un concert pour le moins surprenant. J'avais déjà vu Killerpilze en 2010, la première fois qu'ils passaient à Strasbourg (en rentrant du NL Contest, et en réussissant à passer dans la salle à l'oeil, petite anecdote), et j'avais trouvé ça top. J'ai toujours apprécié le groupe, depuis 2007 (si mes souvenirs sont bons?), mais j'ai jamais été genre la fan-number-one-qui-les-suit-partout. Oui oui rappelez-vous, à cette époque là moi c'était un autre groupe que je suivais.. #BREF. Mais cette fois, quand j'ai su que KP repassaient à Strasbourg pour leur Grell Tour, j'me suis dit qu'il fallait que je les revois (en achetant mon ticket cette fois.....). C'était pas gagné d'avance mais j'ai fini par nous prendre des billets à Emma et moi, et mercredi 24 avril on était devant La Java, puis dans La Java, on a du croiser les membres de Killerpilze 9732 fois avant de les voir sur scène, alors qu'ils faisaient des aller-retour du van à la salle, on a pu discuter avec les membres de FBL, le groupe de première partie (TRES sympa d'ailleurs, j'reviens là-dessus un peu plus loin!).. Enfin déjà avant le début du concert, j'étais dedans à 300%. J'vais d'ailleurs sûrement m'étaler inutilement parce que plus de 48h après, je suis ENCORE dedans à 300%.

Donc commençons par le commencement, la première partie, FBL. Les mecs sont vraiment top, à l'aise sur scène, ils sont beaux et gentils et marrants et attachants et ils ont trop de swag et je les aime déjà. Voilà, ça résume assez bien non ? Sinon pour vous donner un p'tit aperçu, allez voir cette p'tite vidéo Youtube de leur concert à la Boule Noire de Paris. Ils assurent un show vraiment bon à voir et à écouter, et si je peux vous avouer un truc inavouable, j'étais pas motivée à la base (j'ai souvent été déçue par les premières parties hahaha), mais BORDEL c'était ultratropcool. Ca aurait même pu durer un peu plus longtemps d'ailleurs ;-). 

Mais soit, ensuite c'était KILLERPILZE. Et ils ont tout défoncé. Vous pouvez pas imaginer (ou p'tet que si) à quel point ça fait du bien de voir les artistes préparer eux-mêmes leur scène, faire eux-mêmes les derniers réglages de leurs instruments... Nan sérieux, vous avez vu Justin Bieber passer la serpillière sur scène ? Tss, il a rien compris ce p'tit. Soit. Donc déjà, on peut admirer le spectacle - plutôt plaisant d'ailleurs - avant même le début du concert à proprement parler. Puis quand ils commencent, ça démarre en trombe, forcément on est pas beaucoup, ça fait un peu intimiste, mais des fois ça fait du bien aussi d'être en comité restreint. Ils nous servent des chansons de leur dernier album Grell, mais aussi.. *roulements de tambour*... FERNGESTEUERT putaiiiin, ALLO QUOI ! Et d'autres chansons de la vieille époque, mode old school on si si. Puis Jo s'est visiblement mis au français, il nous sort des phrases genre "Z'êtes des oufs" ; "Wesh bien ou bien?". C'est bien mon petit, en effet, t'es sur la bonne voie. Ils sont adorables, ils posent pour les photos, ils viennent nous serrer la main (kikou tua), et à la fin du concert, surprise absolue, Jo vient vers moi (bon j'étais au premier rang pour pas changer, mais je pense que vous vous en seriez doutés hein) et me tend la main. J'sais pas ce qu'il veut mais je tends la mienne, et BAAAM, médiator + sourire + clin d'oeil. J'étais quand même pas au bord du malaise mais euh, c'était assez inattendu (quoi que, vu les oeillades pendant tout le show HAHAHA).  Trop j'suis la chérie des re-sta wesh.

Et puis handiKP sont connus pour être très proches de leurs fans (ce sont des gentils garçons, EUX, qui ne font pas payer 9734872€ le M&G), et ils n'ont pas failli à la règle ce soir là vu qu'ils nous ont rejoints au stand de merchandising, feutres argentés à la main pour les autographes, sourires aux lèvres pour les photos. Et puis la pipelette que je suis était obligée de foutre les pieds dans le plat ; pendant que tou(te)s les fans défilaient et posaient avec eux, j'suis restée à côté, à me taper eine schöne kleine Diskussion mit les mecs, qui m'ont félicitée parce que je sprechais sehr gut le Deutsch et qu'ils auraient pas cru que j'étais Française si j'leur avais pas dit. C'est ça mon chou, moi aussi je t'aime. Une fois que je me suis décidée à les laisser tranquille, j'ai pu prendre ma photo avec Bichon, le bassiste des FBL, MAIS (comme il me l'a fait remarquer plus tard sur Facebook) je n'en ai pas avec Zakiiii.. Bah faut revenir à Strasbourg mes cocos, HOP HOP HOP. Sans déconner hein, moi j'vous attends de pied ferme.

  

 FBL, la première partie.. Enormissimes ces mecs ! 

 Et Killerpilze ! 

(ici Jo, Mäx et Fabi, les photos que j'avais de Benni étaient vraiment trop floues...)

PHOTOS BONUS.. ;-)

(attention, ultra sexyyyyy)

Et la dernière des dernières, photo prise par Mégane : 

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Uglies.

« Shay (…) se tourna vers une étagère et en sortit une poignée d’ouvrages sous emballage plastifié qu’elle déploya devant Tally
- Des livres sur papier ? Et alors ?
- Pas des livres, on appelle ça des « magazines », expliqua Shay
Elle en ouvrit un et pointa le doigt. Les pages étrangement brillantes étaient couvertes de photos. De gens. Moches.
Tally écarquilla les yeux (…). Elle n’avait jamais vu autant de visages si différents. Des bouches, des yeux, des nez de toutes les formes possibles, et sur des gens de tous ages. Et les corps ! Certains ridiculement gras, d’autres horriblement musclés, ou bien d’une maigreur troublante ; presque tous présentaient d’importants défauts de proportion. Mais au lieu d’avoir honte de leurs difformités, ces gens riaient, s’embrassaient, prenaient la pose, comme si toutes ces photos avaient été prises lors d’une gigantesque réception.
-Qui sont ces monstres ?
-Ce ne sont pas des monstres, répondit Shay. Le plus dingue, c’est que ce sont des gens célèbres.
-Célèbres pour quoi ? Pour leur laideur ?
-Non. Ce sont des sportifs, des acteurs, des artistes. Les hommes aux cheveux filandreux sont des musiciens, je crois. Les plus moches sont des hommes politiques, et quelqu’un m’a dit que les gras-doubles sont principalement des comiques.
-Alors, c’est à ça que ressemblaient les gens avant le premier Pretty ? Comment arrivaient-ils à se regarder les uns les autres ? »

Ca paraît un peu étrange, peut-être insensé, ou tiré par les cheveux, voire complètement absurde. Mais je vous assure que cette saga (Uglies-Pretties-Specials-Extras-Secrets) vaut vraiment le coup, j'avais lu les livres au lycée (donc... il y a un p'tit bout de temps, étant donné que ça fait déjà quatre ans que je n'y suis plus hein) et j'en garde encore aujourd'hui des souvenirs très précis en tête, ce qui n'est de loin pas le cas pour tous les livres que j'ai eus à lire entre temps. La saga Uglies est une vraie leçon de vie, Les monstres dont parlent Shay et Tally dans l'extrait ci-dessus sont en fait... des "Rouillés", c'est-à-dire des humains de l'ancien temps, donc nous. L'histoire prend place au 24ème ou au 25ème siècle, ce n'est pas dit clairement mais certains indices nous laissent le deviner. 

Ces livres sont empreints d'humour et d'amour, malgré la gravité des conclusions que l'on peut en tirer. Si j'en reparle aujourd'hui, c'est en partie parce que j'ai - dans le cadre de mon stage - des tas de reviews de livres, CD, films ou séries à faire, et que j'avais vraiment envie de partager celle-là de façon un peu plus "personnelle". Alors pour ceux qui n'avaient pas encore découvert cet univers dystopique, je vous conseille quand même de ne pas vous plonger dedans en temps de dépression, parce que ces livres amènent à une réflexion sur la condition humaine, sur nos torts et nos abus, et franchement.. quand on y pense trop, ça fait plutôt mal au coeur. 

Toujours est-il que ces livres, à priori destinés à un public plutôt adolescents/jeunes adultes, s'adaptent très bien à un public plus âgé aussi. A ajouter à votre liste de lectures futures !

All night longer.

 Coucher de soleil sur mon village wesh wesh

Une semaine d'un temps d'été, ou presque, soleil, ciel bleu, balades en ville et dans les champs, footing, shopping (pong-ping?), c'était t-r-o-p-b-i-e-n. Mais ça a une fin, qui a sonné aujourd'hui. On passe de 25 à 12°C, ça va durer tout le week-end MAIS d'après l'appli "météo" de mon iTouch, mercredi on retrouvera nos 21°C et un grand soleil. Amen. Donc oui, cette semaine c'était assez.. je sais pas si on peut dire "tranquille" en fait, j'ai pas mal bossé, lu, réfléchi, écrit, fait du sport, mais j'ai aussi eu le temps de me prendre quelques coups de soleil sur la terrasse, de regarder quelques épisodes de quelques séries... Cela dit maintenant les vacances, c'est fini. Ce soir je vais au cheval de 19h à 22h (j'ai déjà mal partout rien que d'y penser), demain je bosse de 8h à 20h10, dimanche petit répit, puis lundi 9h, c'est mon stage qui commence. Je suis assez stressée quand j'y pense quand même, comme à chaque fois qu'il faut entamer un nouveau stage, un nouveau job, un nouveau cursus scolaire.. Je vous dirai lundi soir si c'était du stress positif.. ou pas. 

Cette semaine, j'ai retrouvé quelques-unes des "fan-fictions" que j'écrivais entre 2007 et 2010.. et ma foi, j'ai eu parfois envie de m'arracher les cheveux en repérant certaines fautes (souvent d'inattention, comme il m'arrive d'en faire ici aussi, je ne suis qu'humaine rappelez-vous, j'ai pas de correcteur automatique intégré dans mes lentilles), mais.. je dois avouer que ça me plaît toujours. Certes il y aurait certaines choses à changer, dans l'histoire, dans la formulation, mais je trouve ça pas si mal que ça après tout. Cela dit j'ose pas trop poster les liens ici, puis ce sont souvent des fan-fictions sur Tokio Hotel donc AHEM comment dire, pas sûre que cela vous intéresse des masses. Cas où faites moi signe, haha.